Bienvenue cher Maker !
Découvre une méthode concrète pour changer de vie professionnelle en 3 mois, en t’appuyant sur tes compétences, ce qui te passionne vraiment et ton propre rythme, même si aujourd’hui tu doutes de ta légitimité, que tu te trouves trop jeune ou trop vieux pour passer à l’action :
Je récupère la méthode gratuite.
Bienvenue à nouveau cher Maker !
Découvre une méthode concrète pour changer de vie professionnelle en 3 mois, en t’appuyant sur tes compétences, ce qui te passionne vraiment et ton propre rythme, même si aujourd’hui tu doutes de ta légitimité, que tu te trouves trop jeune ou trop vieux pour passer à l’action :
Je récupère la méthode gratuite.
📌 Résumé : Le statut freelance le plus pertinent dépend de ton niveau de revenus et de maturité business. Quand on débute, la micro-entreprise est souvent le choix le plus simple et le moins risqué.
Les statuts comme l’EURL ou la SASU deviennent utiles souvent dans un second temps, quand l’activité décolle vraiment.
Choisir un statut juridique de freelance, c’est souvent le premier mur que tu te prends quand tu te lances.
Pas parce que c’est compliqué en soi.
Mais parce que tout le monde te donne un avis souvent contradictoire.
Un te dit “prends une SASU, c’est plus pro”.
Un autre te jure que la micro-entreprise, c’est un piège.
Et toi, au milieu, tu te demandes surtout une chose :
“Je fais quoi, là, maintenant, sans me griller pour la suite ?”
Bonne nouvelle : tu n’as pas besoin du statut parfait.
Tu as besoin d’un statut cohérent avec l’étape où tu es.
Statut freelance : de quoi parle-t-on vraiment ?
Commençons par un petit rappel, parce que ça évite beaucoup de malentendus.
Le statut freelance, juridiquement, ça n’existe pas.
Freelance, c’est une façon de travailler. Pas un cadre légal.
En réalité, quand tu cherches un “statut freelance”, tu cherches à choisir :
- un statut juridique
- un régime fiscal
- un régime social
- une manière simple de facturer et déclarer
Et en France, les freelances utilisent principalement :
- la micro-entreprise
- l’entreprise individuelle (EI)
- l’EURL
- la SASU
- le portage salarial (plus rare en business en ligne mais tu trouveras des infos sur le site de la BPI)
Mais attention :
👉 le bon statut n’est pas seulement celui qui optimise le plus sur le papier
👉 c’est celui qui te permet d’avancer sans te bloquer
Quel statut freelance choisir quand on débute ?
Ca c’est la bonne question !
Et c’est aussi là que 80 % des gens se plantent principalement par excès de zèle.
Quand on démarre un business en ligne, on a généralement :
- peu de visibilité sur les revenus
- peu de charges
- beaucoup de choses à apprendre
- déjà assez de stress comme ça
Le statut freelance le plus simple pour commencer
Dans la majorité des cas, la réponse est simple : la micro-entreprise.
Pourquoi ?
- création rapide
- zéro charge si zéro chiffre d’affaires
- aucune usine à gaz comptable
- une lisibilité totale sur ce que tu gagnes et ce que tu paies
C’est le statut parfait pour tester sans pression.
Un peu comme des roulettes sur un vélo.
Tu pourras les enlever plus tard.
Tu peux même attendre de faire ta première facture pour faire les démarches en ligne.
Statut freelance sans chiffre d’affaires au début
Si tu démarres avec rien (et c’est normal), la micro-entreprise est redoutablement efficace.
Tu factures 0 ?
Tu déclares 0.
Tu paies 0.
Pas de mauvaise surprise.
Pas de “frais fixes” qui te hantent la nuit.
Bref, tu peux te concentrer sur l’essentiel : faire signer tes premiers clients.
Micro-entreprise : avantages et inconvénients quand on débute
La micro-entreprise a mauvaise réputation chez certains.
Souvent chez ceux qui ne l’ont jamais vraiment utilisée.
Moi-même j’ai commmencé par 18 mois de micro-entreprise (ça s’appelait encore auto-entreprise à l’époque (je te parle de 2009)), avant de passer en EURL à cause du CA que je générais. Je suis toujours en EURL aujourd’hui.
Pourquoi la micro-entreprise est souvent un excellent choix
Pour un freelance ou un créateur de business en ligne :
- simplicité administrative
- gestion ultra légère
- charges proportionnelles
- aucun engagement lourd
C’est pour ça que tant de freelances du web commencent par là.
Pas parce qu’ils “ne savent pas”, mais parce qu’ils raisonnent intelligemment.
Les limites à connaître (sans paniquer)
Oui, il y a des limites :
- plafonds de chiffre d’affaires
- pas de déduction des frais réels
- optimisation fiscale limitée
Mais soyons honnêtes :
👉 ces limites ne deviennent un problème que si ton business fonctionne déjà et tu pourras faire comme moi et changer le moment venu avec l’aide d’un expert-comptable par exemple.
Statut freelance quand on gagne moins de 2000 euros par mois
On entre ici dans une zone très fréquente.
Si tu gagnes moins de 2 000 € par mois :
- la micro-entreprise reste souvent la meilleure option
- les structures plus lourdes apportent peu d’avantages
- la complexité n’est pas encore justifiée
Beaucoup de gens veulent “faire les choses bien” trop tôt.
Résultat : ils se rajoutent des contraintes avant même d’avoir validé leur modèle.
Statut freelance quand on a peu de charges
Le business en ligne a une particularité : il coûte souvent très peu à opérer.
Quelques outils.
Un ordinateur.
Une connexion internet.
Quand tu as peu de charges :
- la micro-entreprise est très efficace
- la non-déduction des frais est rarement pénalisante
- la simplicité reste un énorme avantage mental
Et crois-moi : la charge mentale, ça compte énormément.
Et l’ACRE dans tout ça ? (l’aide qui peut vraiment faire la différence)
Parlons de l’ACRE, parce que c’est souvent flou… et souvent sous-estimé.
L’ACRE (Aide à la Création ou à la Reprise d’Entreprise) permet de réduire fortement les charges sociales la première année. Concrètement, quand tu débutes en freelance, tu paies moins de cotisations sur tes premiers revenus. Et quand on lance un business en ligne, chaque euro compte.
Attention toutefois : l’ACRE n’est ni automatique, ni éternelle. Elle s’applique sur une durée limitée et sous conditions. Mais bien utilisée, elle offre un vrai coup de pouce pour respirer au démarrage, tester ton activité et réinvestir dans ce qui fait grandir ton business (formation, outils, visibilité).
Il faut la demander dans les 60 jours suivant la création de la société.
Je me suis fait avoir en créant ma société le 1er juin et en demandant l’ACRE en septembre… Trop tard, je suis passé à côté plusieurs milliers d’euros d’économies d’impôts.
Les boules !
Pour ne pas louper de conseils pratiques sur l’ACRE, regarde notre vidéo :
Changer de statut freelance quand l’activité décolle
Voici les signaux qui peuvent indiquer qu’il est temps d’évoluer :
- chiffre d’affaires qui augmente vraiment
- charges plus importantes
- besoin d’optimisation
- envie de structurer la suite
Micro-entreprise ou EURL ?
L’EURL peut devenir intéressante si :
- tu veux déduire tes frais
- tu génères des bénéfices plus conséquents
- tu veux plus de contrôle fiscal
- tu veux que ta rémunération subisse moins de charges sociales
Micro-entreprise ou SASU ?
La SASU attire beaucoup parfois trop tôt.
Oui, elle est flexible.
Oui, elle fait “plus sérieuse”.
Mais sans revenus stables, elle devient vite lourde inutilement.
En effet, les charges sociales sur ton salaire (oui tu seras salarié) sont plus importantes qu’en EURL (60% en SASU contre 45% en EURL pour te donner un ordre de grandeur).
Si ton chiffres d’affaires explose vraiment (tu dépasses les 100k€ de rémunération à l’année), la SASU peut être intéressante car tu peux sortir ton argent en dividendes, ce qui n’est pas le cas en EURL (enfin seulement sur une partie vraiment minime).
Comment déposer ses statuts quand on passe en SASU ou en EURL (sans se prendre la tête)
Quand tu passes en SASU ou en EURL, il faut officiellement créer une société. Et là, beaucoup bloquent. Statuts, annonces légales, formalités, ça sonne vite comme un enfer administratif. En réalité, aujourd’hui, ça peut être très simple si tu es bien accompagné.
Sur l-expert-comptable.com, une plateforme en ligne spécialisée en création d’entreprise, ils prennent tout en charge pour toi : rédaction et dépôt des statuts, formalités juridiques, immatriculation, suivi comptable. Tu réponds à quelques questions, ils s’occupent du reste. Et bonus non négligeable : les frais de création d’entreprise sont offerts, ce qui enlève une bonne friction au moment de franchir le cap par rapport à un comptable classique pour lequel les frais seront souvent entre 500 et 1000€.
Passer en société ne doit pas être un frein. Si ton activité justifie une SASU ou une EURL, le vrai enjeu n’est pas “comment déposer les statuts”, mais quand le faire pour que ça serve vraiment ton business.
Les erreurs classiques à éviter absolument
On les voit tout le temps :
- choisir un statut trop complexe dès le départ
- chercher l’optimisation avant la traction
- écouter des conseils hors contexte
- croire que le statut va régler un problème business
Spoiler :
👉 un statut ne fait pas le chiffre d’affaires
Ce sont ton offre, ton positionnement et ta capacité à vendre qui font la différence.
FAQ sur le statut de freelance
Quel statut freelance choisir quand on débute ?
La micro-entreprise est le plus souvent le choix le plus simple et le moins risqué
Peut-on changer de statut plus tard ?
Oui, et c’est très courant.
Existe-t-il un meilleur statut freelance universel ?
Non. Tout dépend du contexte et de la phase du business.
Le statut joue-t-il sur la crédibilité ?
Très peu au début. La valeur perçue compte bien plus.
Quel statut freelance pour tester un projet en ligne ?
La micro-entreprise, sans hésiter.
Choisir un statut freelance, ce n’est pas chercher la perfection.
C’est faire un choix pragmatique, ici et maintenant et avancer.
Quand on débute :
- la simplicité est une force
- la micro-entreprise est souvent idéale
- rien n’est figé
Le vrai sujet, ce n’est pas ton statut.
C’est ce que tu construis avec.
Si tu veux continuer à avancer avec clarté, recevoir des analyses concrètes et éviter les erreurs classiques du business en ligne, abonne-toi à la newsletter des Makers.
On y parle stratégie, décisions structurantes et croissance durable.
Rejoins 37 000+ makers et reçois tous les lundis, nos derniers conseils pour lancer, développer et gérer ton business en ligne 📨






